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la Révélation d'Arès

4 octobre 2006

Révélation d'Arès : quelques liens utiles

voici quelques liens pour en savoir plus sur la Révélation d'Arès : l'association pour la diffusion internationale de la Révélation d'Arès http://www.adira.net/ le site perso du témoin Michel Potay http://perso.numericable.fr/~mmichelpot90/michelpotay/ le site d'un collectif marseillais http://www.odlm-mp.org/
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10 mars 2006

la Révélation d'Arès

une foi existentialiste Message de foi, la Révélation d'Arès marque clairement la supériorité des actes sur les croyances, dont beaucoup sont à ranger au rang des superstitions ou de l'idolâtrie modernes. Elle promeut une vie spirituelle libre, c'est-à-dire la capacité pour l'homme de se déterminer par lui-même, ou encore d'être créateur de sa propre vie mais aussi la société. C'est en ce sens que la dynamique du message a pu être qualifiée d'existentialisme. Elle nie donc la fatalité à laquelle se résignent les hommes qui considèrent leur condition comme "normale" ou indépassable. Elle rappelle que chacun peut évoluer à partir de ses propres bases, dans son individualité unique. Elle ouvre dans ce sens des perspectives encore inconcevables pour la mentalité contemporaine qui a perdu ne serait-ce que l'intelligence de sa condition. vers une civilisation nouvelle La Révélation d'Arès annonce d'une certaine manière la fin de l'histoire. Elle atteste que l'humanité fut créée bien avant ce que relate la Bible avec l'épisode de la Genèse. Cette création a suivi des voies d'évolution que nous ignorons, mais il est sûr que cette humanité n'était pas encore dotée de certaines particularités que la Bible résume comme étant "l'image et ressemblance de Dieu". Adame représente non un individu précis mais simplement un état de l'humanité (comme le laisse d'ailleurs entendre la signification du terme en hébreu). Par ses choix, cette humanité s'est engagée peu à peu sur une voie permise par sa liberté, mais problématique dans ses conséquences que l'on résume par le terme "péché". Par liberté, il faut entendre à la fois le choix propre à chacun de suivre cette voie du retour à l'image ou ressemblance (Dieu propose et l'homme dispose); mais également le refus de pouvoirs, dominations, hiérarchies de toutes sortes qui empêchent l'évolution de l'homme. Et parmi ces dominations, les forces diverses qui habitent l'individu ne sont pas des moindres : superstitions en tous genres, chaos mental, pulsions destructrices, etc. la fin de l'idolâtrie et de la superstition Dans l'un de ses points les plus intenses, la Révélation d'Arès pointe le doigt sur deux fléaux qui accablent notre monde : les superstitions d'un côté et l'idôlatrie de l'autre. Surprenant pour une civilisation qui sous couvert de rationalisme croit avoir presque achevé de faire triompher la raison. Mais en réalité, les superstitions et les idoles n'ont fait que subir un transfert. Elles existent bel et bien sous des formes souvent inattendues, notamment quand elles assurent la domination et le profit de castes sur d'autres. Elles prennent simplement d'autres formes : amour exagéré de l'argent, convoitise, cupidité, avarice, adoration de productions matérielles parfois futiles, nationalisme, amour de la patrie, etc. Des idoles de bois, l'humanité est passée aux idoles de l'esprit, des idées qu'elle respecte et auxquelles elle se soumet servilement alors que l'histoire montre qu'il n'en sort rien de bon. l'auto-critique : moteur de l'évolution La Révélation d'Arès appelle l'homme à une auto-critique et à une évolution permanente, le plaçant ainsi devant des perspectives infinies. Elle va à contre-courant d'une humanité satisfaite d'elle-même, ou autolâtre pour reprendre les termes de Flaubert, qui se montre curieusement d'autant plus rétive à une remise en question qu'elle croit trouver des solutions à des problèmes qui débouchent sur de nouvelles impasses. C'est ainsi que certains observateurs ont qualifié les assemblées telles que voulues par la Révélation d'Arès d'anarchie spirituelle. l'anti-culture La première partie de l'Évangile donné à Arès a parfois été qualifiée d'anti-culture. Non au sens d'un rejet de la connaissance, mais au sens d'un refus d'accepter pour intangible l'ensemble des valeurs de notre civilisation. Elle appelle à un tri serein à partir du fond qui lui est propre, c'est-à-dire une position ontologique selon laquelle l'homme est doté de qualités qui en font un être unique dans l'univers : la parole, l'individualité, la liberté de choix et d'action, l'amour et le pouvoir de crétion. En particulier, l'être humain s'inscrit dans une évolution de l'univers dont il n'a peut-être plus conscience, mais à laquelle il est appelé à participer, quelles que soient les dimensions impliquées. l'anti-structure La deuxième partie du message a de son côté été qualifié d'anti-structure. Il témoigne d'une vie dont l'homme est capable qui échappe à toute forme de morale pour s'inscrire dans une vie dont les tenants et aboutissants dépassent le distingo bien et mal. L'homme, seul face à lui-même et à son créteur ne peut vivre encadré par des structures, des systèmes et des lois qui ne peuvent jamais être une réponse définitive aux problèmes posés par l'existence. un mouvement laïque De part son attitude même, le mouvement des pèlerins d'Arès est un mouvement laïque. Il appelle non seulement au dépassement des structures religieuses et ou de pouvoir profane, mais également au dépassement des mentalités sur lesquelles s'appuient ces structures et pouvoirs. La Révélation d'Arès vise donc à réinsuffler dans notre monde une force de fond qui manque aujourd'hui aux hommes et promeut non vérité intangible mais une direction.
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la Révélation d'Arès
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